- by 横川光恵
- 2025年8月10日
Wolfgang Amadeus Mozart Wikipédia
Wolfgang Amadeus Mozart Wikipédia
La démission écrite de Mozart ne parviendra jamais à Colloredo, pas plus que celui-ci ne congédiera officiellement Mozart. Ce qui marque la séparation définitive, ce sera le célèbre coup de pied que Mozart recevra, le 2 juin à la maison de l’Ordre teutonique à Vienne, de la half d’un intendant de la cour, le comte d’Arco. S’il a été un échec professionnel, ce voyage a grandement contribué à la maturation artistique et humaine du jeune Mozart. C’est également à Mannheim qu’il tombe éperdument amoureux de la cantatrice Aloysia Weber, ce qui suscite la colère de son père, qui lui demande de ne pas oublier sa carrière. Couvert de dettes, Mozart comprend qu’il doit reprendre ses démarches pour trouver un poste et half pour Paris au mois de mars 1778. Wolfgang se fera appeler généralement « Wolfgang Amadè Mozart », mais s’amuse tout au lengthy de sa vie à déguiser et à déformer ses différents noms en de Mozartini, Gangflow (Wolfgang à l’envers), Trazom, and so on.[7].drc-bettingoffersfinder.com/betting-sites/fezbet
En juillet, un inconnu lui aurait commandé un Requiem (KV. 626), qui devait rester anonyme. On sait aujourd’hui qu’il était commandité par le comte Franz von Walsegg, et on suppose que celui-ci souhaitait soit faire deviner à ses amis le nom de l’auteur, soit s’en attribuer la paternité. On a retrouvé le contrat entre le comte et Mozart selon le Dictionnaire Dermoncourt. Lors de ce séjour à Paris, sa mère Anna Maria tombe malade et meurt le three juillet 1778 rue du Gros-Chenet (actuellement au eight rue du Sentier, où se trouve une plaque commémorative). Elle est inhumée à Paris après une messe à l’église Saint-Eustache, en présence de son fils qui signe le registre paroissial de cette église[n 3]. Le jeune Mozart démontre ses qualités exceptionnelles de virtuose, non seulement au clavecin, et plus tard au pianoforte, mais aussi au violon et à l’orgue.
Mozart notice Don Giovanni comme un opéra buffa, sans doute en raison du genre d’opéra, dans son catalogue[20], mais cet opéra sera publié et produit comme dramma giocoso, mêlant le comique et le tragique. Jusqu’en 1785, il bénéficie d’une situation financière assez florissante avec des revenus annuels estimés, selon les années, entre 2000 et 6000 florins. À partir de 1786, il ne parvient pas à maintenir ses succès de pianiste à la mode et la composition d’opéras ne parvient pas à compenser ce manque à gagner. Probablement joueur, isolé en raison de son caractère difficile, « demeuré enfant » selon sa sœur Nannerl, Mozart est lourdement endetté.
Wolfgang Amadeus Mozart – Biographie Et Œuvres
Mozart naît le 27 janvier 1756 à eight heures du soir au numéro 9 de la Getreidegasse à Salzbourg[3]. Il est le fils de Léopold Mozart, musicien, compositeur et pédagogue originaire d’Augsbourg, ville libre d’Empire, qui occupe alors la fonction de vice-maître de chapelle à la cour du prince-archevêque de Salzbourg, et d’Anna Maria Pertl, sa femme[4], fille d’un fonctionnaire de la cour de Salzbourg. Selon le témoignage de ses contemporains, il est, au piano comme au violon, un virtuose. Il écrit dans tous les genres musicaux de son époque et excelle dans chacun d’eux.
- S’il a été un échec professionnel, ce voyage a grandement contribué à la maturation artistique et humaine du jeune Mozart.
- Mozart n’eut pas de croix, ce qui a choqué à l’époque les admirateurs du compositeur.
- À Salzbourg, Léopold Mozart, père de Wolfgang, et Michael Haydn, frère du grand Haydn et ami de Mozart, ont bénéficié d’obsèques plus relevées avec tombe individuelle et cortège officiel.
- Trois enfants sont morts en bas âge, avant la naissance de sa sœur aînée Maria Anna (surnommée « Nannerl », née en 1751), et deux autres sont aussi morts de maladie entre la naissance de Nannerl et la sienne[5].
- Il reçoit des gratifications pour les dédicaces de ses œuvres à des mécènes et la somme forfaitaire de 500 florins pour chaque nouvel opéra dont il peut exploiter le succès en réalisant des arrangements de certains airs pour divers devices.
Matériellement, son voyage s’est soldé par un échec, mais il en est revenu très mûri sur le plan artistique et humain. En juin 1763, ayant obtenu un congé de son employeur, le prince-archevêque de Salzbourg, Léopold half avec sa femme, son fils et sa fille pour une grande tournée européenne (Allemagne, Bruxelles Paris, Londres, Hollande, Paris), qui durera jusqu’en novembre 1766. L’année 1768 est passée pour l’essentiel à Vienne, où Mozart compose l’opéra-bouffe La Finta semplice et le singspiel Bastien et Bastienne. De 1769 à 1773, Mozart et son père effectuent trois séjours en Italie, patrie de l’opéra, où est composé Ludo Sila (Milan, 1772). Il faut ajouter pour mieux comprendre la scenario de la fin de vie de Mozart qu’il ne connut pas le grand succès de son vivant.
Il s’encourage d’un opéra buffa italien de Gazzaniga produit à Venise sur un livret de Bertati quelques mois auparavant[19]. Ce décès bouleverse Mozart, et va influencer la composition de son opéra alors en chantier. Don Giovanni est créé au théâtre des États de Prague le 28 octobre 1787 avec un grand succès, mais qui ne se confirmera cependant pas à Vienne.
Prince éclairé et progressiste par certains côtés, le prince-archevêque Colloredo, à la différence de son prédécesseur Schrattenbach, est entiché de musique italienne et bien décidé à mettre au pas les Mozart père et fils qu’il trouve arrogants et trop souvent absents. Son nouvel employeur lui impose la forme des pièces qu’il doit composer pour les cérémonies religieuses. À dix-sept ans, Mozart a du mal à accepter ces contraintes, et ses relations avec le prince-archevêque vont en se dégradant au cours des trois années qui suivent.
Noms Donnés En Hommage
Mozart n’eut pas de croix, ce qui a choqué à l’époque les admirateurs du compositeur. Des analyses ADN récentes n’ont pas pu authentifier le crâne comme étant celui de Mozart. Il est établi que devant l’inaction de la veuve de Mozart, plusieurs personnes ont ensuite cherché à retrouver ses restes dans le cimetière, en vain, les fosses communes étant régulièrement remaniées pour accueillir de nouveaux corps. À Paris, Mozart espère trouver de l’aide auprès de Friedrich Melchior Grimm, qui s’était occupé de sa tournée lorsqu’il avait sept ans, mais sans succès ; l’homme de lettres lui reprochant « un manque de savoir-faire pour se mettre en valeur ». Mozart ne trouve pas non plus de poste qui lui convienne, et a même du mal à se faire payer ses leçons d’un noble qui le traite avec condescendance ; comportement des nobles en général qui marquera Mozart.
Ce portrait de 1789 est considéré comme le dernier portrait connu de Mozart réalisé d’après le modèle vivant. En 1791, Emanuel Schikaneder, franc-maçon comme lui, mais d’une autre loge, directeur d’un petit théâtre populaire de la banlieue de Vienne, le Freihaustheater auf der Wieden, sollicite sa participation à un opéra populaire en allemand. Il en écrit le livret, et Mozart écrit la musique de son avant-dernier opéra, Die Zauberflöte (La Flûte enchantée). En novembre 1780, le prince-archevêque ne peut refuser à son domestique la commande d’un opéra par l’électeur de Bavière pour le prochain carnaval. Mozart se rend à Munich, comme son contrat l’y autorise, pour quatre mois de travail intense. La création, le 29 janvier 1781, de Idomeneo, re di Creta (Idoménée, roi de Crète), un opera seria dans la custom de Gluck, est accueillie très favorablement par le public.
Aloysia étant mariée, il s’éprend de Constance Weber qu’il épousera et dont il aura six enfants, dont deux seulement survivront. A dix-sept ans il entre au service du prince archevêque de Salzbourg mais supporte très mal d’écrire des pièces religieuses imposées. Il rencontre le compositeur Joseph Haydn à Vienne avec lequel il nouera une profonde amitié. Le jeune Mozart finit par quitter Salzbourg pour se chercher un autre poste, c’est à ce moment qu’il tombera amoureux de la jeune cantatrice Aloysia Weber provoquant la colère de son père ( lui enjoignant de penser à sa carrière) qui l’envoie à Paris avec sa mère. Il ne trouva pas davantage de poste dans une France en crise, contracta des dettes et comble de malheur sa mère tomba malade et mourut.
Le Jeune Mozart, Un Expertise Prometteur
En 1784 Mozart entre dans la Franc-maçonnerie pour laquelle il écrira plusieurs pièces dont la « Musique funèbre maçonnique » et la « flûte enchantée » qui est une véritable description de l’initiation à la Franc-maçonnerie. Libéré des contraintes familiales et de celles de ses employeurs il peut donner libre courtroom à son immense et prolifique expertise Il compose de nombreuses œuvres qui lui feront connaître un grand succès (sonates, symphonies, concertos, opéras, pièces de musique sacrée, sérénades). Son opéra Don Giovanni sera, à la suite du décès de son père en 1787, empreint d’une forte intensité dramatique. Dans les premiers temps de son installation à Vienne, tout semble favorable à Mozart. Il est reçu de façon très bienveillante par un certain nombre de mécènes nobles et par le public bourgeois des amateurs de musique. Dans les palais et les live shows publics qu’il organise à son bénéfice, il joue ses concertos, improvise au clavier et fait entendre ses symphonies.
Le 7 décembre 1787, Joseph II, satisfait de Mozart, le nomme musicien de la chambre impériale et royale avec un traitement confortable de 800 florins par an. Mozart tentera en vain d’obtenir le poste de Konzertmeister impérial, la fonction occupée par Gluck. À ce traitement, Mozart ajoute ses cours privés donnés à la noblesse ou à la bourgeoisie de Vienne, le fruit des concert events par souscription, qu’il organise et qu’il dirige et des gratifications pour chacun de ses opéras. Des opéras qui ne connaissent pas un grand succès selon Robbins Landon, la Cour et le public préférant l’opéra napolitain de Paisiello et Martin y Soler notamment, bien qu’il s’inspire de ce fashion dans la trilogie, mais à sa manière. Dans la capitale autrichienne, Mozart est reçu par plusieurs familles de la haute société, donne des leçons et se taille de francs succès comme pianiste. Son opéra allemand l’Enlèvement au sérail est créé en 1782, tandis qu’il mène à bien les trois premiers des dix-sept grands concertos pour piano de ses années viennoises.
Robbins Landon a recherché les raisons pour lesquelles Mozart n’avait pas été accepté par la société de Vienne, voire rejeté ; peut-être, dit-il, parce qu’il affichait ostensiblement son appartenance aux loges, alors qu’après 1789, le point de vue de l’aristocratie change à cet égard. Mozart, affaibli par la maladie et les privations, doit, en outre, faire face à une surcharge de travail, automobile il a reçu (début août) la commande d’un opéra (La Clemenza di Tito, KV. 621) pour le couronnement du roi de Bohême Léopold II, qu’il doit composer[20] en trois semaines. C’est cependant moins au génie en herbe qu’au virtuose que sa famille prend garde. Léopold a envie de faire connaître cet élève hors de pair et son maître, le prince-archevêque, autorisera des tournées qui feront honneur à sa cour.
Mais les signatures de sa correspondance ne comportent jamais le prénom Amadeus, qui ne sera employé qu’après sa mort. Dans son livre Les Confessions de Constanze Mozart, la romancière Isabelle Duquesnoy décrit Mozart comme blond (il a cessé de porter des perruques dès son arrivée à Vienne), aux yeux bleus, le regard doux, myope, gaucher et affublé d’une malformation congénitale à l’oreille. Sa femme sera accusée d’adultère, notamment avec un élève de Mozart (Süssmayer), qui l’accompagne en cure à Baden durant une grossesse difficile ; les rumeurs cesseront lorsque l’enfant (Franz Xaver Wolfgang Mozart) naîtra, porteur de cette même malformation. Un service commémoratif a lieu à Prague le 14 décembre, cette fois devant des milliers de personnes. Emanuel Schikaneder en organise un préalablement le 10 décembre 1791 à Vienne, au cours duquel le début du Requiem (Introït et Kyrie) pourrait avoir été chanté, la partie composée par Mozart lui-même[41]. La légende, reprise dans le film Amadeus de Miloš Forman (film inspiré du célèbre ouvrage sur Mozart de Hildesheimer) qui veut que Mozart ait composé ce Requiem en prémonition de sa mort prochaine relève plus de l’imagerie romantique que de la réalité.
La mort dans l’âme, Mozart reprendra son ancien poste à Salzbourg (que son père avait réussi à négocier). En 1778 il reçoit une commande pour l’opéra de Munich « Doménée roi de Crète » qui est un triomphe. Congédié par le prince Archevêque qui ne pouvait le comprendre, traité publiquement par lui de voyou, Mozart s’installe à Vienne dans la pension de Mme Weber en tant que compositeur indépendant.
Joseph II appréciait Mozart, mais toutefois préférait, comme le public, les Italiens. À la différence de Mozart, Gluck bénéficia en 1787 d’obsèques solennelles et d’un enterrement dans une belle tombe avec une pierre distinctive à son nom, le tout Vienne musical étant présent. À Salzbourg, Léopold Mozart, père de Wolfgang, et Michael Haydn, frère du grand Haydn et ami de Mozart, ont bénéficié d’obsèques plus relevées avec tombe individuelle et cortège officiel. On peut donc s’interroger sur la personnalité de Mozart et son probable rejet par l’aristocratie comme le fait le musicologue Robbins Landon au XXe siècle. D’autres musiciens que lui ont eu droit en effet à un traitement différent pour leurs obsèques, y compris avant 1791.
De Retour Au Service Du Prince-archevêque Colloredo (1779-
Le 9 novembre 1791, peu avant sa mort, il est condamné par le tribunal de Basse-Autriche (Landrechte) à rembourser 1435 florins avec mise sous séquestre de ses biens, au prince Karl von Lichnowsky qui lui a intenté un procès pour dettes à l’issue d’un voyage effectué en commun à Berlin en 1789. Le tribunal ordonne à la chambre de la cour impériale, employeur de Mozart, de saisir la moitié du traitement annuel de 800 florins qui lui avait été accordé en 1787. En 1786, Mozart fait la connaissance du librettiste Lorenzo da Ponte, « poète impérial » à Vienne avec un rang directorial comparable à celui de Salieri directeur musical du Théâtre d’opéra impérial et kappelmeister. Da Ponte, alors bien en cour, contrairement à Mozart, convainc l’empereur d’autoriser la création d’un opéra basé sur Le Mariage de Figaro, de Beaumarchais, alors qu’il avait fait auparavant interdire la pièce, jugée subversive. Mozart met en musique le livret de Lorenzo da Ponte, et la première de Le nozze di Figaro (Les Noces de Figaro) a lieu le 1er mai 1786 à Vienne.
Wolfgang est baptisé le lendemain de sa naissance dans une chapelle de la cathédrale Saint-Rupert de Salzbourg. Son acte de baptême porte les prénoms de Joannes Chrysost[omus][n 1] Wolfgangus[n 2] Theophilus. Theophilus, signifiant « aimé de Dieu », a des équivalents, allemand (Gottlieb, prénom que son père lui attribue un mois après sa naissance), italien et latin (Amedeo prénom adopté lors de son voyage en Italie en décembre 1769)[6]. Quelques décennies après la mort de Mozart, plusieurs tentatives ont été faites afin d’inventorier ses compositions. Toutefois, ce n’est qu’en 1862 que le musicologue autrichien Ludwig von Köchel achèvera un catalogue chronologique de 626 œuvres, qui fait, aujourd’hui encore, determine de référence. On peut dire de sa musique qu’elle a poussé la forme classique, la musique du XVIIIe siècle, à son paroxysme, avant l’avènement du romantisme, son génie est d’avoir mis toute la tendresse, toute la musicalité dans cette forme dite « classique ».
La force et la grâce, la puissance et l’émotion, le pathétique, l’humour, l’élégance la plus exquise sont réunis dans son œuvre pour faire de Mozart le compositeur le plus accompli de sa génération avec Haydn. Après la mort de son protecteur, l’empereur Joseph II, Léopold II lui succède. Ce dernier ne semble pas apprécier Mozart, qui perd sa state of affairs, puis les faveurs de la noblesse, sans doute à trigger du procès pour dettes intenté par le prince Lichnowsky à l’concern d’un voyage effectué en commun. Désormais débarrassé de l’autorité de son employeur mais aussi de la tutelle de son père, Mozart a gagné sa liberté. Mais il doit se faire connaître à Vienne et gagner sa vie au jour le jour en donnant des live shows, des leçons, en publiant des partitions et en composant.
Elle est alors une petite ville ( habitants), sur un des itinéraires joignant l’Empire et l’Italie, et tout entière centrée avec ses familles nobles, ses bourgeois, ses petits fonctionnaires et ses artisans sur la cour du prince-archevêque. Enfant prodige et compositeur précoce, il est produit en public dès l’âge de sept ans à travers l’Europe où il subjugue les assistances avec sa sœur Maria Anna. Mort à trente-cinq ans, il laisse une œuvre considérable (893 œuvres sont répertoriées dans le catalogue Köchel). Wolfgang Amadeus Mozart ou Johannes Chrysostomus Wolfgangus Theophilus Mozart[1] né le 27 janvier 1756 à Salzbourg (principauté archiépiscopale de Salzbourg) et mort le 5 décembre 1791 à Vienne est un compositeur autrichien de la période classique. Avec Joseph Haydn et Ludwig van Beethoven, il a porté à son apogée l’école classique viennoise.
Il est reconnu qu’il porte à un point de perfection le concerto, la symphonie et la sonate, et qu’il est l’un des plus grands maîtres de l’opéra. Perpétuellement endetté automobile la famille dépense sans compter et mène grand prepare de vie, souvent malade, accablé de travail, Mozart s’épuise. En juillet 1791 un mystérieux inconnu (qui se révéla être le comte Walseeg-Strupach) lui commande un Requiem alors qu’il doit terminer l’opéra « La Clémenza di Tito », il travaille jours et nuits, mais privations et maladie auront raison de lui. Il meurt au petit matin du cinq décembre 1791 à l’âge de trente cinq ans sans avoir pu terminer son Requiem (que l’un de ses élèves, Franz Xaver Süssmayr complètera) et sera enterré à Vienne dans une fosse commune. Le triomphe de l’opéra « L’enlèvement au Sérail », commandé par par l’empereur Joseph II suscite chez Mozart l’espoir d’être nommé « maître de chapelle Impérial », le rêve de sa vie, mais à sa grande déception, ce poste sera attribué au compositeur Italien Antonio Salieri. Mozart a eu une grande affect sur l’histoire de la musique, et ce directement auprès de ses contemporains.
L’Autriche considère Mozart comme l’un de ses enfants les plus illustres[n 8] bien qu’historiquement il soit né dans la principauté ecclésiastique de Salzbourg incluse alors dans le cercle de Bavière et non dans le cercle d’Autriche. En effet, Salzbourg ne devient autrichienne qu’en 1805 lors des guerres napoléoniennes. Mozart a fait la connaissance de la troisième fille de madame Weber, Constance, et décide de l’épouser, sans attendre le consentement écrit de son père qui en sera furieux. Le mariage est célébré à Vienne le 4 août 1782 à la cathédrale Saint-Étienne.
Tournée Européenne Et Retour À Salzbourg
Mais le portrait de qualité le plus ressemblant est un portrait en miniature réalisé par Dora Stock le sixteen ou le 17 avril 1789 lors d’un séjour de Mozart à Dresde. D’une grande finesse, il est dessiné selon la approach de la carta tinta sur un carton préparé de couleur ivoire. Le format ovale réduit (76 × 60 mm) et le portrait de profil sont courants dans les portraits en miniature de la fin du XVIIIe siècle.