- by 横川光恵
- 2025年8月11日
Wolfgang Amadeus Mozart Biographie Et Œuvres
Wolfgang Amadeus Mozart Biographie Et Œuvres
En 1784 Mozart entre dans la Franc-maçonnerie pour laquelle il écrira plusieurs pièces dont la « Musique funèbre maçonnique » et la « flûte enchantée » qui est une véritable description de l’initiation à la Franc-maçonnerie. Libéré des contraintes familiales et de celles de ses employeurs il peut donner libre courtroom à son immense et prolifique expertise Il compose de nombreuses œuvres qui lui feront connaître un grand succès (sonates, symphonies, concertos, opéras, pièces de musique sacrée, sérénades). Son opéra Don Giovanni sera, à la suite du décès de son père en 1787, empreint d’une forte intensité dramatique. Dans les premiers temps de son installation à Vienne, tout semble favorable à Mozart.drc-bettingoffersfinder.com/betting-sites/betobet/promo-code
Il rencontre le compositeur Joseph Haydn à Vienne avec lequel il nouera une profonde amitié. Le jeune Mozart finit par quitter Salzbourg pour se chercher un autre poste, c’est à ce moment qu’il tombera amoureux de la jeune cantatrice Aloysia Weber provoquant la colère de son père ( lui enjoignant de penser à sa carrière) qui l’envoie à Paris avec sa mère. Il ne trouva pas davantage de poste dans une France en crise, contracta des dettes et comble de malheur sa mère tomba malade et mourut. Matériellement, son voyage s’est soldé par un échec, mais il en est revenu très mûri sur le plan artistique et humain. En juin 1763, ayant obtenu un congé de son employeur, le prince-archevêque de Salzbourg, Léopold part avec sa femme, son fils et sa fille pour une grande tournée européenne (Allemagne, Bruxelles Paris, Londres, Hollande, Paris), qui durera jusqu’en novembre 1766.
Même son aîné, Haydn, ami et admirateur de Mozart, en subit l’influence dans ses dernières symphonies et messes, et dans ses deux oratorios. Ce sera Die Entführung aus dem Serail (L’Enlèvement au sérail), en langue allemande, qui incitera Gluck, compositeur et directeur des concert events publics à Vienne, à féliciter Mozart et sera l’opéra de Mozart le plus joué à Vienne. Le jeune musicien émerveille les cours et les souverains, les dilettantes et les curieux. Il est cajolé et récompensé, parfois en espèces, mais plus souvent en bagues ou en montres, difficilement monnayables. Pour mieux éprouver sa virtuosité, on lui fait accomplir des prouesses comme jouer sur un clavier recouvert d’un drap. À Londres, le naturaliste Daines Barrington tente de montrer que Wolfgang n’est qu’une sorte de singe savant exhibé par son père devant la noblesse européenne et qu’il s’agit d’une supercherie, mais les épreuves auxquelles il soumet l’enfant révèlent qu’il est bien un prodige[13].
D’autres musiciens que lui ont eu droit en effet à un traitement différent pour leurs obsèques, y compris avant 1791. Robbins Landon a recherché les raisons pour lesquelles Mozart n’avait pas été accepté par la société de Vienne, voire rejeté ; peut-être, dit-il, parce qu’il affichait ostensiblement son appartenance aux loges, alors qu’après 1789, le point de vue de l’aristocratie change à cet égard. Mozart, affaibli par la maladie et les privations, doit, en outre, faire face à une surcharge de travail, car il a reçu (début août) la commande d’un opéra (La Clemenza di Tito, KV. 621) pour le couronnement du roi de Bohême Léopold II, qu’il doit composer[20] en trois semaines. C’est cependant moins au génie en herbe qu’au virtuose que sa famille prend garde. Léopold a envie de faire connaître cet élève hors de pair et son maître, le prince-archevêque, autorisera des tournées qui feront honneur à sa cour. Mozart n’eut pas de croix, ce qui a choqué à l’époque les admirateurs du compositeur.
Mozart a fait la connaissance de la troisième fille de madame Weber, Constance, et décide de l’épouser, sans attendre le consentement écrit de son père qui en sera furieux. Le mariage est célébré à Vienne le 4 août 1782 à la cathédrale Saint-Étienne. La démission écrite de Mozart ne parviendra jamais à Colloredo, pas plus que celui-ci ne congédiera officiellement Mozart. Ce qui marque la séparation définitive, ce sera le célèbre coup de pied que Mozart recevra, le 2 juin à la maison de l’Ordre teutonique à Vienne, de la part d’un intendant de la cour, le comte d’Arco.
Œuvres Majeures
Des opéras qui ne connaissent pas un grand succès selon Robbins Landon, la Cour et le public préférant l’opéra napolitain de Paisiello et Martin y Soler notamment, bien qu’il s’encourage de ce style dans la trilogie, mais à sa manière. Dans la capitale autrichienne, Mozart est reçu par plusieurs familles de la haute société, donne des leçons et se taille de francs succès comme pianiste. Son opéra allemand l’Enlèvement au sérail est créé en 1782, tandis qu’il mène à bien les trois premiers des dix-sept grands concertos pour piano de ses années viennoises. De juillet à octobre 1783, il séjourne pour la dernière fois à Salzbourg, où est entendue sa solennelle Messe en ut mineur, restée inachevée.
Il vend à des éditeurs des sonates, de la musique de chambre, des quatuors. Il reçoit des gratifications pour les dédicaces de ses œuvres à des mécènes et la somme forfaitaire de 500 florins pour chaque nouvel opéra dont il peut exploiter le succès en réalisant des preparations de certains airs pour divers devices. Le 7 décembre 1787, Joseph II, satisfait de Mozart, le nomme musicien de la chambre impériale et royale avec un traitement confortable de 800 florins par an. Mozart tentera en vain d’obtenir le poste de Konzertmeister impérial, la fonction occupée par Gluck. À ce traitement, Mozart ajoute ses cours privés donnés à la noblesse ou à la bourgeoisie de Vienne, le fruit des live shows par souscription, qu’il organise et qu’il dirige et des gratifications pour chacun de ses opéras.
Prince éclairé et progressiste par certains côtés, le prince-archevêque Colloredo, à la différence de son prédécesseur Schrattenbach, est entiché de musique italienne et bien décidé à mettre au pas les Mozart père et fils qu’il trouve arrogants et trop souvent absents. Son nouvel employeur lui impose la forme des pièces qu’il doit composer pour les cérémonies religieuses. À dix-sept ans, Mozart a du mal à accepter ces contraintes, et ses relations avec le prince-archevêque vont en se dégradant au cours des trois années qui suivent. La mort dans l’âme, Mozart reprendra son ancien poste à Salzbourg (que son père avait réussi à négocier).
De nombreux portraits présumés de Mozart semblent avoir été effectués de seconde major, probablement sans voir le musicien ou bien rétrospectivement, après la mort du compositeur. Ils montrent des physionomies différentes et sont douteux quant à leur ressemblance. Le portrait peint vers 1782 par Joseph Lange, beau-frère de Mozart et peintre newbie, était considéré par sa femme, Constance, comme étant « de loin la meilleure picture de lui »[43]. Mais le portrait de qualité le plus ressemblant est un portrait en miniature réalisé par Dora Stock le 16 ou le 17 avril 1789 lors d’un séjour de Mozart à Dresde. D’une grande finesse, il est dessiné selon la method de la carta tinta sur un carton préparé de couleur ivoire. Le format ovale réduit (76 × 60 mm) et le portrait de profil sont courants dans les portraits en miniature de la fin du XVIIIe siècle.
- La création, le 29 janvier 1781, de Idomeneo, re di Creta (Idoménée, roi de Crète), un opera seria dans la custom de Gluck, est accueillie très favorablement par le public.
- Trois enfants sont morts en bas âge, avant la naissance de sa sœur aînée Maria Anna (surnommée « Nannerl », née en 1751), et deux autres sont aussi morts de maladie entre la naissance de Nannerl et la sienne[5].
- Le jeune Mozart finit par quitter Salzbourg pour se chercher un autre poste, c’est à ce second qu’il tombera amoureux de la jeune cantatrice Aloysia Weber provoquant la colère de son père ( lui enjoignant de penser à sa carrière) qui l’envoie à Paris avec sa mère.
- Selon le témoignage de ses contemporains, il est, au piano comme au violon, un virtuose.
Il est reçu de façon très bienveillante par un certain nombre de mécènes nobles et par le public bourgeois des amateurs de musique. Dans les palais et les concerts publics qu’il organise à son bénéfice, il joue ses concertos, improvise au clavier et fait entendre ses symphonies. Il donne des leçons de piano et de composition, et reçoit chaque jour trois ou quatre élèves fortunés qui peuvent chacun lui rapporter four hundred à 500 florins par an.
Wolfgang Amadeus Mozart – Biographie Et Œuvres
Ce dernier ne semble pas apprécier Mozart, qui perd sa scenario, puis les faveurs de la noblesse, sans doute à trigger du procès pour dettes intenté par le prince Lichnowsky à l’problem d’un voyage effectué en commun. Désormais débarrassé de l’autorité de son employeur mais aussi de la tutelle de son père, Mozart a gagné sa liberté. Mais il doit se faire connaître à Vienne et gagner sa vie au jour le jour en donnant des live shows, des leçons, en publiant des partitions et en composant. À Bologne, le père Martini, érudit illustre, l’initie au vieux style sévère et le fait recevoir à l’Académie philharmonique qui n’admet en principe que des membres âgés de plus de vingt ans. Mozart a alors quatorze ans et c’est la dernière haute distinction qu’il recevra de sa vie. Mozart est un petit garçon émotif et tendre, joignant la plus attentive docilité à une spontanéité primesautière, avide de tout apprendre (les mathématiques) et racontant des histoires avec une creativeness débordante.
Dans sa correspondance, Mozart se dit allemand, dans un sens général et non un sens administratif, l’ensemble politique du Saint-Empire romain germanique ne donnant aucune postérité étatique[52]. Comme Trèves, Cologne ou Mayence, Salzbourg est une principauté ecclésiastique du Saint-Empire, sous l’autorité d’un prince-archevêque, et rattachée au Cercle de Bavière. Elle est alors une petite ville ( habitants), sur un des itinéraires joignant l’Empire et l’Italie, et tout entière centrée avec ses familles nobles, ses bourgeois, ses petits fonctionnaires et ses artisans sur la cour du prince-archevêque.
De Retour Au Service Du Prince-archevêque Colloredo (1779-
En juillet, un inconnu lui aurait commandé un Requiem (KV. 626), qui devait rester anonyme. On sait aujourd’hui qu’il était commandité par le comte Franz von Walsegg, et on suppose que celui-ci souhaitait soit faire deviner à ses amis le nom de l’auteur, soit s’en attribuer la paternité. On a retrouvé le contrat entre le comte et Mozart selon le Dictionnaire Dermoncourt. Lors de ce séjour à Paris, sa mère Anna Maria tombe malade et meurt le 3 juillet 1778 rue du Gros-Chenet (actuellement au 8 rue du Sentier, où se trouve une plaque commémorative). Elle est inhumée à Paris après une messe à l’église Saint-Eustache, en présence de son fils qui signe le registre paroissial de cette église[n 3].
Après cette suite de déconvenues professionnelles et sentimentales, il arrive la mort dans l’âme à Salzbourg le 19 janvier 1779 et doit rentrer dans le rang. Le prince-archevêque Colloredo a daigné le reprendre à son service pour 450 florins par an. À son ancien poste de Konzertmeister, le contrat ajoute la fonction d’organiste à l’église, à la chapelle et à la cour, la formation des enfants de chœur et la composition de toute musique religieuse ou profane demandée par le prince. Le jeune Mozart qui a parcouru l’Europe n’a plus d’autre horizon que Salzbourg. Cette perspective est rendue d’autant plus étouffante par l’avènement, le 22 juin 1772, du nouveau prince-archevêque Hieronymus von Colloredo-Mansfeld.
L’année 1768 est passée pour l’essentiel à Vienne, où Mozart compose l’opéra-bouffe La Finta semplice et le singspiel Bastien et Bastienne. De 1769 à 1773, Mozart et son père effectuent trois séjours en Italie, patrie de l’opéra, où est composé Ludo Sila (Milan, 1772). Il faut ajouter pour mieux comprendre la situation de la fin de vie de Mozart qu’il ne connut pas le grand succès de son vivant. Joseph II appréciait Mozart, mais toutefois préférait, comme le public, les Italiens.
Son acte de baptême porte les prénoms de Joannes Chrysost[omus][n 1] Wolfgangus[n 2] Theophilus. Theophilus, signifiant « aimé de Dieu », a des équivalents, allemand (Gottlieb, prénom que son père lui attribue un mois après sa naissance), italien et latin (Amedeo prénom adopté lors de son voyage en Italie en décembre 1769)[6]. Quelques décennies après la mort de Mozart, plusieurs tentatives ont été faites afin d’inventorier ses compositions.
Da Ponte, alors bien en cour, contrairement à Mozart, convainc l’empereur d’autoriser la création d’un opéra basé sur Le Mariage de Figaro, de Beaumarchais, alors qu’il avait fait auparavant interdire la pièce, jugée subversive. Mozart met en musique le livret de Lorenzo da Ponte, et la première de Le nozze di Figaro (Les Noces de Figaro) a lieu le 1er mai 1786 à Vienne. Son succès n’empêche pas son retrait rapide de l’affiche, l’œuvre mécontentant la noblesse viennoise. Pétri des idées des Lumières, Mozart entre le 14 décembre 1784 en franc-maçonnerie dans la loge Zur Wohltätigkeit (la Bienfaisance), et accède au grade de maître, le thirteen janvier 1785[18]. 620, qui serait une transcription de l’initiation à la franc-maçonnerie avec ses épreuves, son maître de cérémonie, la répétition de thèmes avec trois notes et une musique évoquant l’idéal maçonnique. Sur le trajet de son retour, il passe par Munich, où vit la famille Weber et où il apprend qu’Aloysia aime un autre homme.
La création, le 29 janvier 1781, de Idomeneo, re di Creta (Idoménée, roi de Crète), un opera seria dans la custom de Gluck, est accueillie très favorablement par le public. Entre 1762 et 1766, le jeune Mozart entreprend le Grand Tour lors d’un long périple musical avec son père, employé par le prince-archevêque Sigismond de Schrattenbach, ainsi qu’avec sa sœur aînée Maria Anna, qu’il appelle Nannerl. Débute ensuite une période d’environ deux ans et demi qui est sans doute la plus active et la plus heureuse de la carrière viennoise de Mozart.
Malgré sa rivalité,( il n’existe aucune preuve qu’il fut responsable de sa mort, comme le suggère Milos Forman dans son très beau film « Amadeus ») Antonio Salieri, fut l’une des rares personnes présente à l’enterrement de Mozart automobile il avait, de même que Haydn, reconnu son génie musical. L’Autriche considère Mozart comme l’un de ses enfants les plus illustres[n 8] bien qu’historiquement il soit né dans la principauté ecclésiastique de Salzbourg incluse alors dans le cercle de Bavière et non dans le cercle d’Autriche. En effet, Salzbourg ne devient autrichienne qu’en 1805 lors des guerres napoléoniennes.
S’il a été un échec professionnel, ce voyage a grandement contribué à la maturation artistique et humaine du jeune Mozart. C’est également à Mannheim qu’il tombe éperdument amoureux de la cantatrice Aloysia Weber, ce qui suscite la colère de son père, qui lui demande de ne pas oublier sa carrière. Couvert de dettes, Mozart comprend qu’il doit reprendre ses démarches pour trouver un poste et part pour Paris au mois de mars 1778. Wolfgang se fera appeler généralement « Wolfgang Amadè Mozart », mais s’amuse tout au long de sa vie à déguiser et à déformer ses différents noms en de Mozartini, Gangflow (Wolfgang à l’envers), Trazom, and so forth.[7].
Le Jeune Mozart, Un Expertise Prometteur
De septembre 1777 à janvier 1779, Mozart visite Munich, Augsbourg, Mannheim et Paris en quête d’une scenario. Il fait également la rencontre de l’intellectuel Otto von Gemmingen qu’il retrouvera plus tard dans la franc-maçonnerie viennoise. Toutefois, ses démarches pour obtenir un poste restent là encore infructueuses. Il reçoit alors du directeur du théâtre de Prague, ville qui lui a fait fête, la commande d’un opéra pour la saison suivante.
Musique
En 1778 il reçoit une commande pour l’opéra de Munich « Doménée roi de Crète » qui est un triomphe. Congédié par le prince Archevêque qui ne pouvait le comprendre, traité publiquement par lui de voyou, Mozart s’installe à Vienne dans la pension de Mme Weber en tant que compositeur indépendant. Aloysia étant mariée, il s’éprend de Constance Weber qu’il épousera et dont il aura six enfants, dont deux seulement survivront. A dix-sept ans il entre au service du prince archevêque de Salzbourg mais supporte très mal d’écrire des pièces religieuses imposées.
Ce portrait de 1789 est considéré comme le dernier portrait connu de Mozart réalisé d’après le modèle vivant. En 1791, Emanuel Schikaneder, franc-maçon comme lui, mais d’une autre loge, directeur d’un petit théâtre populaire de la banlieue de Vienne, le Freihaustheater auf der Wieden, sollicite sa participation à un opéra populaire en allemand. Il en écrit le livret, et Mozart écrit la musique de son avant-dernier opéra, Die Zauberflöte (La Flûte enchantée). En novembre 1780, le prince-archevêque ne peut refuser à son domestique la commande d’un opéra par l’électeur de Bavière pour le prochain carnaval. Mozart se rend à Munich, comme son contrat l’y autorise, pour quatre mois de travail intense.